“Tu n’as pas confiance, tu n’y arriveras pas”
Notre coach Nicolas nous parle aujourd’hui de sa petite voix intérieure. “Tu n’as pas confiance, tu n’y arriveras pas “
Ah cette voix intérieure (je lui ai donnée un prénom “Martine”) qui prend le contrôle de notre vie, même un peu trop. Fais pas ci, fais pas çà, attention tu vas pas y arriver, c’est trop dure…

Ah cette voix intérieure qui prend le contrôle de notre vie
Ah cette voix intérieure (je lui ai donnée un prénom “Martine”) qui prend le contrôle de notre vie, même un peu trop. Fais pas ci, fais pas çà, attention tu vas pas y arriver, c’est trop dure… Dès que tu penses quelque chose de bien, ou tenter quelque chose de nouveau cette voix elle arrive en courant. Tu n’as même pas le temps de te mettre en action qu’elle te juge…
Puis un jour, j’ai décidé de parler à Martine, je lui ai dit écoute si c’est juste pour me critiquer, me juger et pas m’aider, ce n’est pas la peine de me parler, je n’ai pas besoin de toi. Moi je veux réussir et j’ai besoin d’avancer. Alors si tes conseils ne sont pas constructifs je ne veux plus t’entendre !
Mais d’où vient cette voix intérieure ?
Alors on l’appelle la “voix intérieure”, les “pensées” ou encore le “langage intérieur”, nous produisons tous un langage mental de façon volontaire ou spontanée, qui se manifeste par des interjections, des mots, des chiffres, des phrases ou même un monologue ou une conversation intérieure.
Pour autant, elle ne se manifeste pas toujours de la même façon en fonction de la personne ou du moment. D’après certains chercheurs, si certains se parlent à eux-mêmes de temps en temps, d’autres le fond en continu et d’autres jamais.
D’après les chercheurs nous parlons environ 4 heures par jour à nous-même.
Nous retrouvons trois types de dialogues intérieurs :
L’intentionnalité : la parole intérieure est délibérée, quand on décide, par exemple, de retenir un numéro de téléphone, quand on décide de compter dans sa tête, ces petits moments-là où on réfléchit bêtement.
Le vagabondage mental où notre attention flotte un peu. La parole intérieure n’est pas délibérée cette fois, n’est pas intentionnelle, mais survient à l’improviste, de manière inattendue. Mais c’est dans ces moments-là qu’elle est la plus créative et elle nous fait parfois réaliser certaines choses auxquelles on faisait moins attention. Il survient aussi dans des moments où on est concentré. On peut être en train de faire une tâche et puis soudainement on lâche l’attention et on se met à vagabonder sans l’avoir décidé.
La dialogalité : C’est le fait d’énoncer des choses pour soi-même. On est à la fois dans le “je” et le “tu”, on joue avec des alternances d’utilisation de pronoms dans le langage intérieur qui nous montre un déploiement sur des conversations multiples et souvent avec plusieurs personnes”.
Aujourd’hui, Martine est devenu gentille, elle est moins réactive, elle juge moins, à partir du moment où elle n’est pas positive, je ne l’écoute plus. Cela m’a pris du temps d’apprendre à connaître Martine cette voix intérieure.
Et toi ta voix intérieur elle est comment ? Tu lui donnes aussi un nom ?
Article rédigé par AG!R®.
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